posté le lundi 14 novembre 2011 à 17:14

Aimes moi !

Aimes-Moi

Aimes-moi, tel que tu es.

 

Je connais ta misère, les combats et

Les tribulations de ton âme ;

La faiblesse et les infirmités de ton corps ;

Je sais ta lâcheté, tes péchés, tes défaillances ; 

Je te dis quand même :

"Donne-Moi ton cœur, aimes-Moi comme tu es."

Si tu attends d'être un ange pour te livrer à l'amour,

Tu ne m'aimeras jamais.

Même si tu retombes souvent,

Dans ces fautes que tu voudrais ne jamais connaître,

Même si tu es lâche dans la pratique de la vertu,

Je ne te permets pas de ne pas M'aimer.

Aimes-Moi comme tu es.

A chaque instant et dans quelque position que tu te trouves, Dans la ferveur ou dans la sécheresse,

Dans la fidélité ou dans l'infidélité.

Aimes-Moi tel tu es.

Je veux l'amour de ton cœur indigent ;

Si pour m'aimer tu attends d'être parfait,

Tu ne m'aimeras jamais.

Ne pourrais-je pas faire de chaque grain de sable

Un séraphin tout radieux de pureté, de noblesse et d'amour ?

 

Ne pourrais-je pas, d'un seul signe de ma volonté

Faire surgir du néant des milliers de saints,

Mille fois plus parfaits et plus aimants

Que ceux que j'ai créés ?

Ne suis-je pas le Tout-Puissant ?

Et s'il me plaît de laisser pour jamais dans le néant

Ces êtres merveilleux et de leur préférer ton pauvre amour !

 

Mon enfant, laisse-moi t'aimer, je veux ton cœur.

Je compte bien te former mais en attendant,

 Je t'aime comme tu es.

Et je souhaite que tu fasses de même :

Je désire voir, du fond de ta misère, monter l'amour.

J'aime en toi jusqu'à ta faiblesse.

J'aime l'amour des pauvres ;

 Je veux que, de l'indigence, s'élève continuellement ce cri : Seigneur, je vous aime.

C'est le chant de ton cœur qui m'importe.

Qu'ai-je besoin de ta science et de tes talents ?

Ce ne sont pas des vertus que je te demande,

Et si je t'en donnais, tu es si faible

Que bientôt l'amour-propre s'y mêlerait :

Ne t'inquiète pas de cela.

J'aurais pu te destiner à de grandes choses :

Non, tu seras le serviteur inutile,

Je te prendrai même le peu que tu as,

Car je t'ai créé pour l'amour.

Aime!

L'amour te fera faire tout le reste sans que tu y penses ;

Ne cherche qu'à remplir le moment présent de ton amour. Aujourd'hui je me tiens à la porte de ton cœur

Comme un mendiant, Moi, le Seigneur des seigneurs.

Je frappe et j'attends, hâte-toi de m'ouvrir,

N’allègue pas ta misère.

Ton indigence, si tu la connaissais pleinement,

Tu mourrais de douleur.

Cela seul qui pourrait me blesser le cœur,

Ce serait de te voir douter et manquer de confiance.

Je veux que tu penses à moi à chaque heure

Du jour et de la nuit,

Je ne veux pas que tu poses l'action la plus insignifiante

Pour un motif autre que l'amour.

Quand il te faudra souffrir, je te donnerai la force ;

Tu m'as donné l'amour,

Je te donnerai d'aimer au-delà de ce que tu as pu rêver.

Mais souviens-toi :

"Aimes-Moi, tel que tu es."

N'attends pas d'être un saint pour te livrer à l'Amour,

Sinon tu n'aimeras jamais.


Trouvé sur le net cette poésie n'est pas de moi

 


Commentaires

 

1. Lumaee  le 14-11-2011 à 17:35:51  (site)

J'ai les larmes aux yeux d'avoir lu ce texte...

2. lisbeth16  le 14-11-2011 à 17:44:17  (site)

un texte très fort qui m'a été envoyé par une personne qui se trouve en Cote d'Ivoire
un très bel écrit qui m'a ému aussi lorque je l'ai lu et que je voulais faire partager.

3. Lumaee  le 14-11-2011 à 17:49:44  (site)

Et bien merci de l'avoir fait tout simplement Sourire

 
 
 
posté le lundi 14 novembre 2011 à 17:01

La vie

La vie

La vie est une chance, saisis-la.

La vie est beauté,  admire-la.

La vie est béatitude,  savoure-la.

La vie est un rêve,  fais-en une réalité.

La vie est un défi,  fais-lui face.

La vie est un devoir,  accomplis-le.

La vie est un jeu,  joue-le.

La vie est précieuse,  prends-en soin.

La vie est une richesse, conserve-la.

La vie est amour,  jouis-en.

La vie est un mystère,  perce-le.

La vie est promesse,  remplis-la.

La vie est tristesse, surmonte-la.

La vie est un hymne,  chante-le.

La vie est un combat,  accepte-le.

La vie est une tragédie,  prends-la à bras-le-corps.

La vie est une aventure,  ose-la.

La vie est bonheur,  mérite-le.

La vie est la vie,  défends-la.

 

Trouvé sur le net cette poésie n'est pas de moi

 


 
 
posté le dimanche 06 novembre 2011 à 16:44

Noël 2011 arrive à grand pas : Rome confrontée au culte de Mithra

Malgré l'influence croissante de l'église et de ses disciples, les rites liturgiques chrétiens ne parvenaient pas à s'imposer face aux festivités païennes des Saturnales.

 

 Cette fête pleine d'entrain entrava longtemps la propagation du christianisme.

 

Mais la chrétienté fut également menacée par un autre culte fortement implanté dans l'Empire romain : le culte de Mithra.

 

 Dans l'ancienne religion iranienne, Mithra était le dieu de la lumière, le symbole de la chasteté et de la pureté et il combattait les forces maléfiques.

 

Au IIe et IIIe siècles av. J. C., son culte fut répandu dans tout l'Empire romain et l'empereur Aurélien en fit même la religion d'Etat.

 

Les soldats romains, dont bon nombre vénéraient Mithra, furent les ambassadeurs de cette religion qu'ils répandirent jusque dans les provinces les plus éloignées de l'Empire.

 

Au 4e siècle, pour enrayer ce culte païen, l'Eglise chrétienne prit une mesure très astucieuse.

 

La fête de la naissance du Christ fut avancée du 6 janvier au 25 décembre.


En effet le solstice d'hiver du 25 décembre était la fête la plus importante de l'an mithraïen : on fêtait la renaissance du "sol invinctus" (dieu invaincu).  

 

L'Eglise n'hésita pas à déclarer le Christ "sol invinctus".


Les chrétiens procédèrent de la même manière au cours de l'évangélisation d'autres peuples : la fête de Noël fut transférée aux jours de fêtes païens importants, tels que la fête de Jul chez les germains.  

 

L'objectif restait le même : faciliter le passage de la coutume païenne à la foi chrétienne.  

 

Un élément facilita cette démarche : il s'avérait impossible de fixer une date précise pour la naissance du Christ, car à l'époque il n'existait pas de calendrier universellement valable.  

 

La plupart des chrétiens furent vite persuadés que la date de la naissance du Christ était le 25 décembre.

 

On s'interrogea sur la manière dont on allait célébrer l'événement.

 

Les autorités ecclésiastiques s'accommodèrent globalement de l'esprit des saturnales.

 

Même si ces fêtes exubérantes choquaient un peu les mœurs chrétiennes, il ne fut pourtant pas impossible de concilier les deux rites.

 

En effet beaucoup d'éléments de la fête païenne s'adaptaient aisément au nouveau cadre chrétien.

 

Il ne fut pas difficile, par exemple, de créer un lien entre le houx aux feuilles piquantes et la couronne d'épines du Christ.

 

 


Commentaires

 

1. penseenocturne  le 07-11-2011 à 13:59:28  (site)

Bonjour Lisbeth
Très bel univers j'aime beaucoup merci !
Bonne journée
Tendresse Pensée

 
 
 
 

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