La Dépêche du Midi relate ce matin qu'au Groenland, une affaire secoue le Ministère. Lire la suite l'article
C'est le propriétaire d'une chienne, dont il s'inquiétait de la disparition alors qu'elle venait de mettre bas, qui a donné l'alerte.
En effet, lorsqu'il s'est rendu au domicile de son voisin, qu'il suspectait d'avoir passé la nuit avec sa chienne, ce propriétaire l'a retrouvé nu dans son appartement, avec des poils de son animal, selon le policier.
Il a immédiatement porté plainte, et le coupable a reconnu les faits après les interrogatoires, et a accepté de payer l'amende de 1000 couronnes, soit 134€.
Saisi par l'affaire, le ministre danois de la Justice, Brian Mikkelsen, doit également répondre à la question de Marlène Harpsoe
du Parti du peuple danois (extrême droite), qui lui a demandé s'il était "raisonnable qu'un violeur, qui a reconnu sa culpabilité, doive payer une amende de 1.000 couronnes seulement pour son méfait?"
Et bien, ça rigole pas au Groënland.
En dehors du fait que la zoophilie soit un acte répréhensible, tout comme celui du viol, encore que je doute qu'un animal soit consentant dans ce genre de fait, il est tout de même un peu surprenant de voir que l'affaire remonte jusqu'au Ministère, et se fait l'écho d'un parti.
Triste monde...
En 2003, des policiers anglais trouvèrent dans un abri de jardin un chien apeuré qui avait été enfermé et abadonné.
il était sale, affamé, et avait clairement été maltraité.
Les policiers emmenèrent le chien, un lévrier femelle, dans un refuge près de là.
Le personnel du refuge travailla à restaurer la santé et la confiance du chien.
Cela pris plusieurs semaines, mais finalement le but fut atteint.
Ils l'appelèrent Jasmine, et s'inquiétèrent alors de lui trouver une famille adoptive.
Mais Jasmine avait d'autres plans.
Personne ne se souvient comment cela à commencé, mais elle se mit à reccueillir tous les aniùaux qui arrivaient au refuge.
Peu importe si c'était un chiot, un renard, un lapin ou un autre animal perdu ou blessé, Jasmine allait vers la cage et autant que possible donnait un coup de langue de bienvenue.
"Nous avions 2 chiots qui avaient été abandonés près d'une ligne de chemin de fer.
L'un était un croisement Lakeland terrier et l'autre un croisement Jack Russel doberman.
Ils étaient minuscules lorsqu'ils sont arrivés et Jasmine s'est approchée, a pris l'un par la peau du cou et l'a amené sur le canapé.
Ensuite, elle a été cherché l'autre puis elle s'est installée avec eux, et les a couvés.
Mais elle esr comme ça avec tous nos animaux, même les lapins.
Elle enlève le stress et ls aide non seulement à se sentir proches d'elle mais aussi à s'adapter à leur nouvel environnement."
"Elle a fait la même chose avec les bébés renard et blaireau, elle lèche les lapins et les cochons d'inde et laisse même les oiseaux se percher sur son nez "
Jasmine, timide et maltraité, est devenue la mère subrogée du refuge, un rôle pour lequel elle était née.
La liste des jeunes animaux orphelins et abandonnés dont elle s'est occupée inclut 5 renardeaux, 4 petits blaireaux, 15 poussins, 8 cochos d'inde, 2 chots et 15 lapins.
Ainsi qu'un faon. Le minuscule faon, à 11 semaines, fut trouvé à demi conscient dans un champ. A son arrivée au refuge, Jasmine l'a couvé pour le tenir chaud, et a joué le rôle de la mère.
Jasmine le lévrier couvre Bramble le faon d'affection et veille sur lui.
Ils sont inséparables. Bramble marche entre ses pattes, et ils n'arrêtent pas de s'embrasser.
Ils font le tour du refuge ensemble.
C'est vraiment beau de les voir ensemble.
Jasmine continuera de s'occuper de Bramble jusqu'à ce qu'il soit en âge de retourner vers la vie sauvage.
Lorsque cela arrivera, Jasmine ne sera pas seule.
Elle sera trop accupée à donner toute son affection et tout son amour à un autre orphelin ou victime de maltraitance.
de gauche à droite : Toby, croisement Lakeland errant - Bramble, faon orphelin - Buster, croisementJack Russel errant - un lapin abandoné - une chouette de ferme blessée - et Jasmine avec son couer de mère faisant ce qu'une mère aimante fait de mieux ....
Quand j'étais un chiot, je vous ai amusé avec mes cabrioles et vous ai fait rire.
Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais «Comment peux-tu?» mais après on s'amusait ensemble
Mon éducation a pris un peu plus de temps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons tous travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés faire de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que "la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne-chien" -mais je l'ai accueilli dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour.
Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses--parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes--et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leur lit et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qui te demandaient une photo de moi dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais «juste oui» et changeais de sujet. Je suis passé du statut de "ton chien" à "seulement un chien", et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta "famille", mais il y eu un temps où j'étais ta seule familleJ'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et as dit «je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle ».
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec «des papiers ».
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait «non, papa! S'il vous plaît ne les laissez pas prendre mon chien!».
Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui aviez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie.
Tu m'as donné un «au revoir-caresse» sur la tête, a évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué leur tête et ont dit «Comment est-ce possible ?
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permettent.
Ils nous nourrissent bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis--que c'était juste un mauvais rêve...
Ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille.
Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était mon avenir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le «prisonnier de l'amour» avait survécu à travers les jours.
Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété d'elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti le dard et le liquide se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré «comment as-tu pu?»
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit «je suis si désolée ».
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que je suis allé à une meilleure place où je ne serai pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins--une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit.
Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon «Comment as-tu pu?» c'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais. J
e penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté !© Jim Willis, 2001Note de l’auteurSi "Comment est-ce possible" a mis des larmes dans vos yeux en le lisant comme cela me l'a fait alors que je l'écrivais, c'est parce que c'est l'histoire de millions d'animaux qui meurent chaque années dans des chenils américains et canadiens. Tout le monde est bienvenu à distribuer cet essai dans un but non-commercial, aussi longtemps qu'il est distribué correctement avec l'avis du copyright. S'il vous plaît utilisez-le pour aider à l'éducation, sur vos websites, dans des bulletins d'information, dans les refuges pour animaux et tableaux d'affichage du bureau du vétérinaire. Dites au public que la décision d'ajouter un animal familier à la famille est une importante décision pour la vie, que les animaux méritent notre amour et soins, et que la recherche d'une autre maison appropriée pour votre animal est votre responsabilité et que toute vie est précieuse. S'il vous plaît faites votre part pour arrêter le meurtre d'animaux et encourager les campagnes pour prévenir que des animaux soient non désirés Il n’y a rien à rajouter !!!!
Commentaires
1. angelraider le 22-05-2009 à 21:44:16 (site)
CouCou,, Je Vien de refère tou mon blog .. & comme je Lé reféé, Je n'est Paas bocoup De Coùm's .. Sa Sréé Siimpaa Si Tu Pouvéé Vniir Laché un coùm's Ou Deux .. Merciiii
BiisouX