Et voilà la dernière arnaque sur le net...
Si ce dernier accepte, les deux interlocuteurs s'installent devant la webcam de chaque ordinateur.
Au cours du « chat », la conversation s'érotise...
Puis l'escroc demande à son « contact » de se dévêtir et d'exécuter des gestes à connotation sexuelle, indique 20Minutes.
Quelques jours après ce « chat érotique », la victime reçoit un mail avec un logo officiel, soit de la « gendarmerie nationale de France », d'Interpol, ou de « l'ambassade de France en Côte-d'Ivoire ».
Un mail qui indique à l'internaute imprudent qu'il a « commis une infraction pédopornographique » passible de poursuites pénales.
Des poursuites qui peuvent, bien entendu, se monnayer...
Ainsi pour éviter ces poursuites, l'internaute est invité à effectuer un virement allant de 500 à 25.000 euros sur un compte de la Western Union.
Et si jamais cette transaction n'a pas l'aval de l'internaute, ce dernier est menacé de découvrir l'enregistrement de la scène pornographique sur un site de partage vidéo.
Une cinquantaine de plaintes ont été déposées en France.
Des plaintes qui émanent aussi bien d'hommes que de femmes, indique Ouest France