posté le 28-11-2011 à 14:03:46
Seine-et-Marne : il tue son fils en le mettant dans le lave-linge
Un homme a placé son fils de 3 ans dans la machine à laver pour le
punir d’une innocente bêtise, vendredi à Germiny-l’Evêque
(Seine-et-Marne).
Bastien à l'age d'un an
une petite bouille toute ronde, un petit ange !
pourquoi tant de violence !!!!
Une chevelure d’ange blond et une
bouille à croquer... Vendredi soir, à Germigny-l’Evêque
(Seine-et-Marne), à 10 km de Meaux, Bastien, 3 ans, est décédé après
avoir été mis nu dans le lave-linge par son père. Christophe Champenois a
voulu « punir » son fils d’une bêtise commise à l’école.
Serait-ce d’avoir jeté dans les toilettes jeudi le dessin d’une camarade de classe qui lui valut ce châtiment ?
Le père, âgé de 33 ans, met en route la machine à laver. Quand Charlène,
la mère, récupère le petit dans ses bras, il était gelé. Elle court
chez Alice, sa voisine et son amie, racontant que Bastien est tombé dans
l’escalier. « Je l’ai pris dans mes bras comme une poupée désarticulée,
dit Alice, j’ai senti le dernier battement de son cœur. Charlène ne
bougeait pas, elle était toute rouge, pétrifiée, elle ne comprenait pas
qu’il était
mort.
» Maud, la sœur de Bastien âgée de 5 ans, vient dire la vérité à
Fidélio, le mari d’Alice. « Elle m’a dit que Bastien ne s’était pas
réveillé en sortant de la machine. Quand Christophe a su que Maud avait
parlé, il a voulu la frapper, je me suis interposé. La fillette a confié
que ce n’était pas la première fois que son père mettait le petit dans
la machine. Il enfermait parfois son fils deux heures dans le placard
pour le punir. »
Fidélio dit désemparé : « Quand Bastien était bébé, il le mettait
enveloppé dans une couverture sur le rebord de la fenêtre. Quand je
voyais ça, je criais. » Dans l’appartement d’Alice et Fidélio, les
parents et la sœur de Charlène sont présents, anéantis.
« Bastien n’était pas un enfant désiré, témoigne Evelyne, la mère de
Charlène. Jusqu’à son accouchement, ma fille m’assurait qu’elle n’était
pas enceinte. Le jour de la naissance, quand j’ai appelé Christophe, il
buvait avec des copains et m’a dit qu’il ne voulait pas de cet enfant.
Bastien était un souffre-douleur. Ma fille a sept frères et sœurs, elle
était gentille, une mère poule. »
Mais Charlène, 25 ans, courbait l’échine, soumise à un mari sans
travail. Elle ne se plaignait pas, mais marchait avec la même et unique
paire de chaussures depuis quatre ans, acceptait la coupe ratée faite
par un copain de Christophe soi-disant coiffeur. « Je sais qu’elle était
battue, mais ne disait rien, rapporte sa soeur Christelle. Vendredi,
elle avait des marques sur le visage, elle m’a dit qu’elle s’est pris
une clé à mollette en dévissant un boulon, je lui ai répondu que la clé
n’a pas cinq doigts. »
« Elle était adorable, je lui confiais mes enfants, je considérais les
siens comme les miens », raconte Alice, qui assure que des éducatrices
sont passées chez Charlène et Christophe, sans donner de suite. Les
parents étaient toujours hier soir à 22 heures au parquet de Meaux qui a
ordonné une ouverture d’information judiciaire pour
meurtre, non-empêchement de commission d’un
crime et non-assistance à personne en danger.
Le Parisien
Commentaires
Bonjour ma grande ton article, est haurrissant, je n'en crois mes yeux au fil de cette lecture et que personne n'ai jamais rien dit, c'est homme mérite qu'on lui fasse la même chose.
Je suis horifier.
Je te souhaite malgré tout un agréable weenk en .
Je me repète mais ne te vois plus je suis allé sur ton nouveau blog, mais je ne sais pas ce que veut dire MP
.Gros bisous ta soeur de coeur si tu ne ma pas oublié
Nanou