La vie avait continué après, la vie continue toujours.
Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire.
C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire.
Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin.
Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser.
Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse.
Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc.
Valser, valser, valser.
Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.
Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol