posté le samedi 06 juin 2009 à 19:24

Gus, pauvre Galgo abandonné

Je viens vous raconter :

L'histoire dramatique de GUS

 

 Il y a longtemps, Gus a du être un levrier espagnol brave et précieux.

Aujoud'hui, c'est une soplation infectée de parasites, d'un squelette dans lequel seulement les deux braise de ses yeux rebrillent avec innocence.

 

 

 

Les images parlent d'elles même.

 

Voici son histoire dramatique :

 

Gus est né il y a 8 ans, et a toujours vécu dans la même maison, sans une seule plainte, avec la mort qui rodait lente mais implaccable.

Il y a tois ans, son maitre a été ruiné, a perdu sa maison, maintenant prorpété de la banque.


Gus est enterré dans cette vie depuis trois longtemps, en mangeant grâce aux restes du voisin, qui lui donne en une fois par mois, et les quignons de pain pourri dans des sacs que son "cher maître" lui a laissé.


Heureusement, le même voisin a contacté l'une des collaboratrices de l'Evolution, qui est venue sur les lieux et l'a tourvé là, seul, bléssé, malade, endorlori et affamé, sans rien attendre de la vie....


Comment ne pas répandre des larmes de compassion, de peine, de rage, de colère d'impuissance devant un tel spectacle ?


Malgré son état, Gus est un chien noble, il n'essaie pas de mordre, il a seulement peur des gens, trop d'années dans la plus absolue des solitudes, sans une caresse, sans un mot doux, et surtout entouré d'hostilité....

 

 

Les taches qui existent sur son corpsse sont des vieilles tiques, comme ivres.

Gus est boiteux d'une patte, certainement un coup de peirre reçu des voisins qui se palignent de sa présence "dégoutante".

Certains étant même disposer à lui tirer dessus, par arme à feu !

C'est pourquoi, son voisin, le "bon", qui le nourrit, à appeler l'Evolution, avec angoisse, en craignant le pire  


Aucun de ceux que nous avons connu l'histoire de Gus nous nous expliquons comment quelqu'un peut permettre qu'un animal vive chez des prochains des conditions. Tant de cruauté aurait à avoir un châtiment …

 

 Maintenant Gus se remet peu à peu, perd sa méfiance et commence à apprendre que la vie peut être une autre chose qu'une faim et un désespoir dans un trou sale qu'il y a des gens disposés à le vouloir, à l'aider et à faire qu'il se sent heureux peut-être pour la première fois dans sa vie.

voici des photos du sauvetage du Gus :

 

  Gus après être sorti de la maison, avec des yeux illuminés d'espoir

 

 Dans la voiture, plus tranquille et plein de reconnaissance

 

Chez le vétérinaire, peureux

 

ainsi, Gus avait les oreilles pleines de tiques

 

 

Le premier bain de Gus

 

Gus continue à perdre des tiques, comme celles du cou qui sont mortes, mais il était impossible des les enlever avec une ppince, alors chez le vétérinaire, la toiletteuse canine le baigne.

Le pauvre a normement peur, mais c'était neccessaire.

Il a une dermathose infectueuse sur la peau, et a commencé à être traité avec antibiotique, et pommades différentes.

Gus a beaucoup de faiblesse dans les pattes postérieures, il lui est très difficile de se mettre debout longtemps.

 

                                             

 

Photos de Gus en recevant son premier bain fait peur

   

                        

                                      des blessures causées par les tiques                        Gus se reposant

 

L'ÉVOLUTION DE GUSGus suit très faible, avec à peine tu forces pour une autre chose qu'il n'est pas de manger et de dormir, mais un petit peu d'à peu nous avons confiance c'est que son amélioration commence à se voir...

 

                       

 

Pour le moment, Gus veut tout simplement manger et dormir

 

                           

il l'a bien mérité cette main tendre lui caressant l'oreille

 

Il est désormais sous l'aile bienfaisante d'une association espagnole, evolucion

 

 

Contact (en espagne): gracia2008@animalhelp.es . Tél: (0034) 627 712 762

 

 
 


 
 
posté le samedi 06 juin 2009 à 18:21

L'histoire de Senda

Voici un magnifique texte qui résume très bien ce qui se passe en Espagne, vu de l'intérieur, écrit par une espagnole qui a grandi dans la culture des gualgueros, les chasseurs propriétaires et tortionnaires de ces pauvres chiens 
 SENDA
Je suis revenu me promener dans la forêt, côté ouest. Lorsque je me trouve loin de la ville, cet endroit revient dans mes songes, Senda aussi.
Parfois je fais de beaux rêves, je rêve que je ne revois plus  Senda dans la forêt, et ne plus la revoir est toujours une bonne nouvelle.
Par contre il y a des fois où je fais d’affreux cauchemars, je rêve que malgré mes dénonciations,
le galguero du village continue avec les pendaisons de galgos, et pas seulement ça, je rêve aussi que derrière sa maison se trouve un puits énorme où il jette les chiens, et que même Senda est incapable d’aller repêcher ces pauvres âmes.
Les galgos comme Senda sont considérés comme du matériel, un matériel fongible, car leur corps ne peut pas supporter les courses ventre à terre en pleine campagne.
Leur musculation est affaiblie par une alimentation à base de pain et d’eau, leurs pattes se cassent.
Fongible parce que ces chiens s’entretuent pour obtenir ce misérable bout de pain, ils sont par dizaines entassés dans un sous sol,
fongible parce que les femelles attrapent des maladies à l’utérus à force de mettre bas dans des sous sols humides et sales, parce qu’ils doivent supporter le froid et la faim, sans jamais une couverture où pouvoir s’étendre,
ils n’ont que leur peau en guise de caresse, et aussi parce que, trop souvent, au lieu des caresses qu’ils recherchent pendant les longs mois d’hiver ils reçoivent les tabassages du galguero, dans quel but ?
Je l’ignore, certainement pour s’amuser, ou bien pour combler la misère de sa vie, mais ce n’est certes pas pour une bonne cause.
Donc, on jette ce matériel abîmé, on le détruit à coups de marteau sur la tête, on le pend ou bien on l’abandonne dans les bois où les collets démolissent leurs pattes, ou bien ils y meurent de faim ou tombent malades ; et malgré tout, malgré cette vie atroce, je suis sûr qu’en silence, du haut de leur échafaud, lorsqu’ils sentent couler la dernière goutte de sang de leur crâne fracassé, ce n’est pas la liberté qu’ils appellent à l’aide, mais leur maître.
Ce sont de si doux esclaves, si humbles…
Le problème ici c’est que le qualificatif d’être humain ne peut être donné à tout le monde, car il devrait s’appliquer plus à l’acte qu’à l’espèce.
Toute avance très lentement en ce qui concerne le concept du galgo, dans le village.
On a souvent recours à une morale double, qui est fausse par ailleurs. C’est un village, et dans les villages, encore aujourd’hui, les gens tuent leurs animaux pour manger, il ne s’agit pour eux que d’un matériel pour survivre.
Le bénéfice brut et total est tout ce qui compte, ainsi qu’un investissement minimum en alimentation car, avant, ils étaient vraiment très pauvres et ne pouvaient se permettre ni le luxe ni la justice, pour les pauvres animaux, d’un vétérinaire.
Les débuts de la cruauté envers les animaux sont peut-être là, ce qui n’à plus aucun sens de nos jours, puisque l’Espagne est un pays avancé, et les villages et paysans ne manquent plus de rien…
Tout ce parfum de tradition est trop enraciné, et paysans et citadins ne sont toujours pas capables d’ouvrir leur esprit et montrer un minimum de respect vis-à-vis d’êtres vulnérables comme les animaux.
Je disais donc qu’au village tout avance très lentement, je n’ai pas beaucoup de gens à qui parler car pratiquement personne n’est d’accord avec moi.
Mon père s’est disputé avec son voisin, le galguero, à cause de moi, car je l’ai dénoncé et il a dû payer une amende (rien de grave face à la cruauté commise)
…Ma mère, même si elle n’en laisse rien paraître, a honte de moi ; car j’ai volé un boulot et un hobby à son voisin.
Plus de la moitié du village pense comme eux, car ils sont presque tous chasseurs et ils achetaient leurs chiens au galguero, même le maire achetait les plus rapides pour les faire courir à Barcelone, les seules pistes encore ouvertes pour ce genre d’exercice.
Mais face à l’enquête policière, pas même le maire n’a essayé de défendre le galguero, conscient dans son fort intérieur, que cet exercice n’avait rien de moral ni de légal.
 
L'HISTOIRE DE SENDA L'HISTOIRE DE SENDA

J’avais onze ans quand j’ai trouvé Senda, elle était couchée sur le bas côté de la route, aux environs du village.

Je me suis approché tout doucement car j’avais peur qu’elle aboie, ou qu’elle me morde, et aussi par précaution car j’appréhendais de me trouver face au macabre spectacle d’un chien mort.

Lorsque je me suis approchée, elle a ouvert les yeux, elle a levé sa tête et remué doucement sa truffe. E

lle a essayé de se lever, mais elle est retombée brutalement en soulevant une nuée de poussière autour d’elle.

Je lui ai touché la tête, et lorsque ma paume l’a effleurée elle a tressailli et crié.

J’ai eu peur de lui avoir fait mal et de suite j’ai essayé de voir si elle était blessée, mais rien ne paraissait tourmenter cette peau couverte de poussière.

J’ai essayé alors de la motiver pour qu’elle me suive.

’est en regardant ses pattes que mon sang n’a fait qu’un tour en observant que la chienne avait une patte qui pendait, des lambeaux de peau pendillaient de partout, autour d’elle le sang avait déjà séché et était devenu gélatineux, comme si on avait versé un verre de peinture, et un os tout jaune et saillant pointait férocement, annonçant ainsi sa douleur et son angoisse. J

e suis revenu en courant chez moi mais je n’ai pu convaincre personne de m’aider, j’ai donc cassé ma tirelire et sorti tout l’argent que j’avais économisé depuis deux ans, j’appelais ensuite un de mes meilleurs copains et, à nous deux, nous avons hissé la chienne sur une petite charrette, nous l’avons mouillée un peu et avons marché 2 kms pour parvenir jusqu’au vétérinaire du village principal.

 

 

Notre histoire eut l’air de les émouvoir.

La vétérinaire nous prévint que la patte de la galga ne pouvait ni s’opérer ni guérir et qu’il fallait amputer, mais elle nous assura qu’elle pouvait très bien se débrouiller avec seulement trois pattes.

Nous allions la voir tous les jours, avec mon ami, on l’avait opérée et stérilisée aussi à cause d’une infection à l’utérus provoquée par ses fréquentes maternités, on lui retira aussi plusieurs plombs de chasse du dos et des cuisses.L

’arrivée de Senda à la maison fut une apothéose...

Mon père était furieux parce que son fils avait dépensé une grosse somme d’argent dans une chienne rebelle et bonne à rien, il me frappa à plusieurs reprises, j’encaissais les coups en serrant les dents de rage et je lui crachais, ravi, ma victoire définitive à la figure : la chienne ne servirait pas non plus à mettre bas car elle était stérilisée, et c’est là que le galguero se désista définitivement.

Au fil des années je me suis habitué aux fugues de Senda, le village s’habitua aussi peu à peu à sa présence, son invalidité et sa sympathie lui valut l’affection de grands et petits.

 

À 20 ans j’obtins un travail en ville, et je pris Senda avec moi.

Elle avait 8 ans lorsque je l’avais recueillie, elle était déjà âgée, et je sus qu’elle n’allait pas me tenir compagnie longtemps en ville…

Un cancer qu’elle dissimulait avec normalité la dévorait intérieurement, et on lui avait donné un maximum de 3 mois.

J’essayais d’en profiter tous les après midi au cours de nos promenades où les enfants essayaient de la toucher et les grands cherchaient à connaître son histoire, émouvante, personne ne restait insensible face au courage de Senda, et personne ne pouvait ignorer son allure et sa beauté.

Après des années de voyage, après avoir grandi et être devenu un peu plus mature, je me sentais prêt à revoir mes parents.


Je pris une semaine en plein mois d’août et j’emmenais Senda avec moi au village, comme d’habitude, pour rendre visite à mes parents, malgré la mauvaise relation que nous avions.

Le village était solitaire, gris et poussiéreux.

La jeunesse avait émigré en ville comme moi, et les grands étaient restés, avec leurs petites vies.

Mes parents me reçurent assez mélancoliques face à mon absence qui avait duré plusieurs années, mais avec beaucoup d’émotion aussi, ils furent même émus de revoir Senda…

 

Cette nuit là je dormis avec Senda dans ma chambre, de la même façon que je le faisais en ville, convaincu qu’à mon réveil Senda serait partie faire un tour en forêt, du côté ouest du village.

Mais non, cette nuit là elle dormit à mes côtés, fatiguée.

Dans la pénombre de la chambre, elle me parut plus vieille que jamais.

Au lendemain, Senda ne me quitta pas d’une semelle, et après le repas, au lieu de dormir jusqu’au soir, comme à son habitude, elle m’incita à jouer avec elle, en la suivant elle commença à courir à travers le village.

Senda continua à courir jusqu’à la sortie du village, jusqu’à l’orée du vieux bois de peupliers et pins, du côté ouest.

Elle m’attendit là, patiemment.

Je voulais revenir en arrière, mais elle continuait à m’attendre au même endroit, quand elle fut sûre que j’allais rester elle commença à marcher lentement vers l’intérieur de la forêt.Je l’accompagnais, méfiant et trempé de sueur, et je m’abritais à l’ombre des arbres.

Elle me regardait et je la regardais, si elle avait pu parler elle m’aurait sûrement dit : « viens, je veux te raconter un secret », et ce fut ainsi.

Elle s’arrêta en plein cœur de la forêt, à côté d’un tas de troncs.

Elle s’assit et me regarda, peut être essayait-elle de deviner mes pensées.

 Je portais mes mains à mon visage, j’étais ahuri.

 

Des dizaines de galgos étaient pendus à des cordes, comme des drapeaux. 

 Leurs gueules diaboliquement ouvertes d’où pendaient leurs langues.

 Leur peau était presque transparente et ils avaient les yeux enfoncés.

Leurs pattes avant montraient bien la souffrance et l’agonie qu’ils avaient subie, car leurs coussinets étaient ouverts et à vif à force d’avoir essayé de s’appuyer sur l’arbre, et sur l’écorce on voyait encore les traces de sang séché.

La pourriture imprégnait ce spectacle et la pénombre montrait tout ce que cette scène avait de honteux, d’amoral et d’illégal.

Ces corps n’avaient reçu aucune autre visite à part la mienne, et certainement celle de Senda tous les matins jusqu’à ce que je la prenne avec moi en ville.

Seuls le galguero et elles connaissaient cet endroit, elle était la seule à calmer ses compagnons, qu’elle avait certainement vu mourir, pendus un à un sur ces arbres. Je suis sûr que c’est ça qu’elle a voulu me dire.

Parmi tous ces corps qui se balançaient au son du bal mortuaire du vent, je vis apparaître d’autres chiens, avec des yeux verts et lumineux reflétant le peu de lumière qu’il y avait à cet endroit où nous étions Senda et moi. Ils venaient de la partie la plus touffue du bois, faisant bouger les arbustes et ils s’annoncèrent en silence complet, sans un seul aboiement.

 

Je vis alors Senda partir en flèche vers eux sans regarder en arrière, et je pris peur car j’étais incapable de prononcer un mot pour la rappeler, et parce qu’en essayant de marcher je vis que Senda était toujours là, couchée à mes pieds.

 

Elle venait de mourir et sa course avec ces pauvres âmes n’était autre que le retour vers la liberté enivrante de la mort, c’était elle le guide, la garantie du bonheur de tous ceux qui n’avaient pas pu en profiter.

 

Je pris le corps de mon amie, encore tiède, encore musclé, et je creusais un trou à ce même endroit où elle s’était laissée mourir.

 

Ainsi qu’elle l’avait voulu, je dénonçais le galguero.

 Il affronta une bonne amende, et je fis savoir à tous l’histoire de ces bêtes sur un livre qui fut publié, ceci permit à mes parents de comprendre la misère de l’univers dans lequel ils étaient plongés et dont ils étaient complices.

 

Mais je n’ai pas de repos, car je sais que le galguero du village continue à utiliser ses chiennes pour mettre bas, en les alimentant de misère, certaines sont pendues d’autres sont laissées à leur propre sort et personne, pas même ma famille qui a vécu si près de Senda, qui a lu le livre, qui s’est retournée contre cet homme violent, ose se montrer hostile.

 

C’est pour cela que je vais continuer a diffuser la misère de ces chiens, qui ne sont qu’un tout petit reflet de tout ce qui se passe dans beaucoup d’autres villages espagnols.Je continuerai à me promener dans la forêt, pour retrouver Senda, entourée d’une meute chaque fois plus nombreuse qui me regardera avec des yeux doux, ce sont les fantômes de l’injustice prolongée, la manifestation silencieuse de la mort, tous mes projets vont à eux, aux galgos du côté ouest 

García Fernández    

 Par Carol, bénévole de la fourrière municipale de Badalona(Traduit de l’espagnol par Fabienne Tremblé) 

 

pour venir en aide aux galgos d'Espagne:

http://www.galgosfrance.netlisbeth@galgofrance.info

 


 
 
posté le samedi 06 juin 2009 à 17:18

Pour mettre un terme au business canin

Voici une pétition à signer pour faire bouger les choses en France.

 

Auteur : Association Rackaila4pattes.

Association de réhabilitation des chiens de catégories.

A l'attention de : Ministère de l'agriculture.

 

 

 " En France aujourd'hui, avec les problèmes financiers actuels, les abandons se sont multipliés, les gens se servent de ce faux problème pour abandonner leur animal, vient ensuite le problème mis en place par le gouvernement, concernant les chiens de catégories, test comportemental OBLIGATOIRE et un permis de détention (La loi du 20 juin 2008), qui bien-sûr engendrent des abandons en masse, faute d'argent.

 

Des animaux de plus en plus âgés se retrouvent abandonnés. Un animal euthanasié, derrière, 1000 naissances. Il faut ARRETER les Ventes de chiots Sur le Net, INTERDIRE la Catégorie ANIMAUX sur les sites de petites annonces (un animal est un être VIVANT, pas un MEUBLE).

Il faut ARRETER les ventes de chiots en SALONS, FOIRES ET EXPOS (Souvent ventes de NON LOF). Il faut ARRETER l'IMPORTATION, ces animaux sont vendus au KILO à tout juste 4 semaines et transportés dans des conditions lamentables.


Il faut ARRETER la revente en ANIMALERIE, car ces chiots ou chatons arrivent souvent de l'étranger, trop jeunes, sans sociabilisation, sans imprégnation, ce qui donnera plus tard chez le chiot ou le chaton des problèmes de comportement, d'où ABANDON.


Il faut que les chiens de catégories 1 puissent avoir accès au S.C.A.U (nous tenons à préciser que de nombreux chiens dits de type Dogue , car non inscrits au LOF ou tout autre livre généalogique reconnu par le ministère de l’agriculture (F.C.I.), sont dans la 1ère catégorie de la dite loi, du fait de leurs correspondances morphologiques au chien dit de type Mastiff.

Ces chiens peuvent être communément appelés boerbulls... " des molosses de type dogue, définis par un corps massif et épais, une forte ossature et un cou épais. ").


Nos Souhaits:


- Suppression de la catégorie Animaux, pour tous les sites de petites annonces.


- Suppression de la catégorie Animaux, pour tous les journaux de petites annonces.


- Suppression des Salons, Foires, Expos.

 

- ARRETER l'importation.


- ARRETER la revente en ANIMALERIE, la Belgique l'a fait, pourquoi pas nous.


- OBTENTION du S.C.A.U pour les chiens de 1ère catégorie.


Nous voulons par le biais de cette pétition REMERCIER toutes les Assos de la PA qui se battent tous les jours, pour éviter des euthanasies en replaçant les animaux abandonnés. Elles font un travail remarquable sur le terrain, par le biais de forums et ne vivent que de leurs membres et appels aux dons.


Cette pétition sera envoyée au Ministère de l'Agriculture, et un double à la
SCC, qui nous l'espérons prendront enfin de bonnes décisions sur tous ces sujets.

 

Et si rien n’est fait, nous remettrons ça, nous ne lâcherons pas…"

 



 

 


 
 
 

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