© Philippe Leblanc
Au-delà de l'écoeurement... Un profond sentiment de dégoût. Lorsque ce jeune père de famille narbonnais a découvert l'horrible substance, il a bien failli s'écrouler.
Âme sensible s'abstenir ! L'histoire commence le 12 août dernier. En ce jeudi, Gilles Gorgoni se rend, comme il en a l'habitude, dans sa grande surface préférée vers 17 h, pour y faire quelques emplettes.
Il achète, entre autres, un rôti de porc né en France et élevé dans ce même pays, 8,48 euros. Le soir même, il organise un repas entre amis, à son domicile narbonnais. Il rentre chez lui et apprend par la bouche de son épouse que le dîner est annulé.
A cet instant, l'homme ne sait pas encore que cette annulation vient peut-être de lui éviter un séjour à l'hôpital... Il décide de couper le rôti en deux pour le congeler. Quand soudain, il aperçoit un liquide visqueux, verdâtre, s'écouler de cette viande, semble-t-il, impropre à la consommation.
Comme des boules de gelée verte s'échappent du morceau de porc. L'odeur est pestilentielle. Dégoûté, Gilles jure qu'il n'en restera pas là.
Le lendemain, il se rend chez une connaissance, un boucher narbonnais pour le sonder. La réponse est claire : il s'agit d'un abcès interne purulent qui a éclaté dans le rôti. Impossible, a priori, à déceler pour le distributeur.
Le magasin ne pouvait déceler ce problème
Il se rend alors dans son magasin. Il discute avec le chef du rayon "boucherie" qui le rembourse.
Mais aucun responsable du magasin n'est disponible. "Je ne comprends pas qu'aucun membre de la direction n'est pris la peine de me rappeler. Aujourd'hui (Ndlr : 20 août), je n'ai toujours pas de nouvelle. Le chef boucher m'a rappelé d'accord, mais ce n'est pas à lui que je veux dire le fond de ma pensée".
Les services vétérinaires ont pris le dossier en charge.
Selon toute vraisemblance, la faute est imputable à l'éleveur. La chaîne du contrôle qualité n'ayant pas connu de défaillance.
Ni le grossiste, ni l'hypermarché ne pouvaient diagnostiquer un tel problème.
Une certitude : Gilles Gorgoni n'est pas prêt d'oublier cette mésaventure d'un mauvais goût : "J'ai deux enfants de 10 et 2 ans. Quand je pense qu'ils ont failli manger ça. Ça me donne mal au ventre...".
Pauvre Jimmy !
Un matin de 2006, Jimmy est découvert devant l'Association, les pattes en sang !
Nous l'emmenons immédiatement chez le vétérinaire, qui diagnostique: mutilation des pattes avant !
Son "propriétaire" lui a tout simplement coupé les phalanges et laissé devant l'Association ! Il a beaucoup de mal à se déplacer, et n'arrive pas à se défendre de ses congénères !
Mais comment peut on faire une chose pareille ? Il n'y a pas de mots assez forts pour qualifier un acte aussi barbare !
Quant au soi-disant "propriétaire" de cette pauvre bête................!
un propriétaire, non plutot un minable, et le mot est faible pour ma part
Jimmy est trés affectueux ; (encore un qui n'est pas rancunier envers la race humaine!)
Il demande un parrainage, ou une adoption, sous condition d'un petit jardin.
Merci pour lui.
ETRE HUMAIN: qui est sensible à la pitié,compatissant,compréhensif;
(avec humanité : avec bonté)
ANIMAL: être vivant, capable de se mouvoir, dépourvu de paroles;
(ins.: personne stupide, grossière et brutale.)
Ces deux définitions sont tirés du Petit Larrousse 2006!
A méditer ou à comparer !
Jimmy se retrouve à l'adoption, ne demande qu'une famille aimante
et un petit bout de jardin pour pouvoir prendre le soleil .
Si vous pensez etre cette famille, rendez vous sur le blog :
ou me contacter,
je ferais passer l'information.
Un grand merci d'avance à celui ou celle qui pourra rendre heureux Jimmy
Création pour le concours organisé par
La symphonie des Artistes
Merci de me laisser une petite com..
et donner l'adresse à vos ami(es )
Pour voir la création en taille réelle,
cliquez dessus !
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