posté le dimanche 01 octobre 2017 à 12:18

Bonjour Octobre

 

 

 

 


1 er jour d'octobre !!!


Je n'ai même pas vu passer septembre !!!!

 

 

Petit poème pour vous  

 

 

 

Les feuilles mortes

 

Tombent, tombent les feuilles rousses,

J'entends la pluie sur la mousse.

 

Tombent, tombent les feuilles molles,

J'entends le vent qui s'envole.

 

Tombent, tombent les feuilles d'or,

J'entends l'été qui s'endort.

 

Tombent, tombent les feuilles mortes,

J'entends l'hiver à ma porte.

 

Pernette CHAPONNIÈRE (1915- 2008)

Petites poésies des quatre saisons

 


 
 
posté le dimanche 01 octobre 2017 à 12:02

A mediter : les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol

 


 

La vie avait continué après, la vie continue toujours.

 

Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire.

 

C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire.

 

Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin.

 

Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser.

 

Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse.

 

Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc.

 

Valser, valser, valser.

 

 

Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.

 

 

 

 

Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol 

 


 
 
posté le dimanche 01 octobre 2017 à 11:58

a mediter

Il y a des gens avec qui l’on passe une grande partie de sa vie et qui ne vous apportent rien, qui ne vous éclairent pas, ne vous nourrissent pas, ne vous donnent pas d’élan.

 

Encore heureux quand ils ne vous détruisent pas à petit feu en se suspendant à vos basques et en vous suçant le sang.

 

Et puis, il y a ceux que l’on croise, que l’on connait à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie.

 

Vous n’attendiez rien d’eux, vous les connaissiez à peine, vous vous êtes rendu léger, légère, au rendez-vous et découvrez qu’ils ont ouvert une porte en vous, déclenché un parachute, initié ce merveilleux mouvement qu’est le désir, mouvement qui va vous emporter bien au-delà de vous-même et vous étonner.

 

K Pancol

 

 

 

 


 
 
 

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