La Pie bavarde (Pica pica) : l'oiseau noir et blanc bavard et chapardeur.
La pie appartient à la famille des corvidés. Communément appelée « pie bavarde » (Pica pica), elle est très répandue en Europe.
C’est un oiseau intelligent et très agile.
La pie est un oiseau d’assez grande taille qui se reconnaît par son plumage blanc sur le ventre, sur ses flancs et sur la base de ses ailes, alors que le reste de son corps est noir avec des reflets verts et bleus métalliques sur ses ailes et sa queue.
Son bec puissant, ses yeux et ses pattes sont noirs aussi. La queue de la pie est assez longue, entre 20 et 30 cm.
La pie est aussi reconnaissable par sa marche : elle fait de grands pas suivis de petits bonds.
La pie possède un cri bruyant et criard. On l’entend souvent jacasser dans nos parcs et jardins notamment quand les pies se regroupent.
A l’origine, la pie vit plutôt dans les zones agricoles ou légèrement boisées.
La pie trouve refuge dans les grands arbres comme les peupliers, les bouleaux, les pins ou les cèdres, mais aussi les bosquets.
La pie est omnivore.
Elle se nourrit au sol d’insectes, de vers ou de limaces ainsi que de graines ou de baies.
La pie apprécie également les détritus des hommes comme les miettes de pain, les œufs ou les fruits.
Comme les corvidés dont elle fait partie, si elle ne trouve rien d’autre, la pie mange les restes de cadavres de petits animaux écrasés sur la route par exemple.
On trouve aussi souvent la pie perchée sur le dos des vaches ou des moutons car elle aime se nourrir des tiques présentes dans le pelage des animaux.
La pie a la particularité de creuser un trou dans la terre pour stocker pendant 1 ou 2 jours sa nourriture.
Mal acceptée et accusée à tort de nombreux maux dans les zones rurales, la pie est classée parmi les nuisibles que l’on peut chasser.
Elle est en effet accusée de piller les réserves de jeunes petits gibiers, de petits oiseaux et mammifères, alors que des études scientifiques ont prouvé qu’elle ne menace en rien ces espèces.
C’est pourquoi la pie fréquente nos jardins en ville, mais, à part ses concerts de cris rauques, elle ne représente aucune nuisance pour les plantations.
Elle permet même d’éliminer de nombreux insectes nuisibles.
source :
https://jardinage.lemonde.fr
Le pic vert ou pivert (Picus viridis), oiseau au plumage rouge, jaune et vert.
Très présent dans nos villes et nos campagnes, le pic vert (Picus viridis), aussi appelé pivert, fait partie de la famille des picidés.
Chacun connaît le bruit qu’il fait avec son bec quand il cogne contre les troncs d’arbres de nos parcs et de nos forêts pour y installer son nid notamment, mais aussi pour se nourrir.
Grâce à ses pattes robustes, munies de griffes pointues, il a la particularité de grimper le long des troncs d’arbres et d’y rester accroché.
Au premier regard, le pic vert est reconnaissable par son plumage jaune et vert, qui lui a d’ailleurs donné son nom, tout le long de sa nuque jusqu’à sa queue.
Ces couleurs permettent au pic vert de se fondre dans le feuillage et de passer inaperçu pour ses prédateurs.
Sa tête, recouverte sur le dessus d’un rouge vif, est aussi très caractéristique car elle est tricolore : en plus du rouge, le plumage du pic vert est noir autour des yeux et blanc sur la gorge.
Ses yeux sont aussi uniques et facilement reconnaissables avec leur iris blanc.
Le pic vert vit tout aussi bien en ville, dans les jardins publics, les parcs, qu’à la campagne, en lisière de forêt, près des bosquets ou des haies.
Il apprécie les lieux où il y a des grands arbres et des pelouses. Le pic vert est un oiseau sédentaire.
Le pic vert se nourrit essentiellement au sol où il peut trouver des fourmis dont il raffole.
Accroché au tronc des arbres, le pic vert se sert aussi de son bec pour creuser les bois tendres et en extraire les larves qui y ont élu domicile.
Il se nourrit également de lombrics et de tous les insectes qui vivent dans le bois des arbres.
Quand son alimentation de base manque, le pic vert ne rechigne pas à aller grignoter des fruits et quelquefois des graines.
Dès le mois de janvier, le pic vert commence à chercher un endroit pour y installer son nid.
C’est à partir de cette période de l’année que le mâle et la femelle commencent à creuser des trous dans les troncs d’arbres tendres à la recherche du meilleur emplacement.
Au printemps, le couple pic vert creuse plus en profondeur le trou choisi pour y placer leur nid.
La femelle, qui pond une seule fois par saison, y dépose de 5 à 7 œufs qu’elle couve avec le mâle pendant 15 jours.
Les oisillons sont nourris par leurs parents pendant 3 semaines et prennent ensuite leur envol.
Le pic vert fréquente peu les jardins à part à la campagne.
En ville, on le trouve plus souvent dans les parcs.
Dans tous les cas, c’est un oiseau utile qui débarrasse son territoire des fourmis et d’autres insectes nuisibles.
Source : https://jardinage.lemonde.fr
1. gegedu28 le 10-01-2018 à 15:27:22 (site)
Bonjour Lisbeth,
Ton article m'a tout de suite fait TILT, et pour cause, dans le livre (http://gegedu28.vefblog.net/gege_du_28/cat6/2.html#Mon_vieux_moulin_de_Beauce) que je suis en train de rédiger, j'ai une petite anecdote au sujet des pics-verts, voici ce que j'écris :
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VECU : UN MOULIN ATTAQUE PAR LES PICS-VERTS !
Surprise ! Lors de mon passage en octobre 2017, je me suis aperçu que le bardage du Moulin de Bel Air était criblé de trous de 6 à 8 centimètres de diamètre.
Mais qui donc peut en vouloir à ce bel édifice ?
Eh bien, vous me croirez si vous voulez, ce sont des pics-verts qui viennent perforer le bardage, à croire qu’il n’y a pas assez d’arbres à percer dans la région !
Côté statut juridique, le pic-vert est une espèce protégée en France par un arrêté du 17 avril 1981, et inscrite à l’annexe II de la
convention de Berne.
L’association du Moulin de Bel Air essaie, tant bien que mal, de lutter contre les forages de ces charmants oiseaux en colmatant les trous, afin que les autres oiseaux, profitant de l’aubaine, ne
puissent y rentrer pour nicher ou pour faire leurs saletés.
En attendant une décision, l’association est aujourd’hui dans une impasse !
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.. donc intéressant ton article.
Au plaisir de te relire.
Amicalement,
Gérard
2. Lisbeth16 le 10-01-2018 à 15:30:41 (site)
merci Gégé de ton com qui est super intéressant
Monsieur PIVERT a élu domicile dans nos arbres depuis de nombreuses années et c'est la première fois que j'arrive a le mettre en boite (lol) et surtout que je le vois de si près j'espère refaire très vite des photos de Monsieur Pivert !!
a très vite sur la page
Amicalement Lisbeth
édité le 10-01-2018 à 16:14:11
3. anaflore le 10-01-2018 à 16:07:24 (site)
je n'ai jamais croisé de pic vert !!il serait temps !!!
bon mercredi
France Gall est morte dimanche 7 janvier à l'âge de 70 ans des suites d'un cancer.
Égérie naïve de Serge Gainsbourg au temps des yéyé puis interprète inspiré de son mari, l'auteur-compositeur Michel Berger, la fille du parolier Robert Gall aura été une des artistes pop les plus importantes de la variété française.
Son sourire enfantin et sa voix sucrée ont incarné de 1960 à 1990 l'émancipation douce des jeunes filles françaises de l'après-guerre....
La chanteuse France Gall nous a quittés ce dimanche 7 janvier 2018 des suites d'un cancer, a annoncé sa chargée de communication Geneviève Salama. «Il y a des mots qu'on ne voudrait jamais prononcer.
France Gall a rejoint le «Paradis blanc» le 7 Janvier, après avoir défié depuis 2 ans, avec discrétion et dignité, la récidive de son cancer», indique-t-elle dans un communiqué.
"Ella, elle l'a", paroles et musique de Michel Berger (1987)
C'est comme une gaieté
Comme un sourire
Quelque chose dans la voix
Qui parait nous dire "viens"
Qui nous fait sentir étrangement bien
C'est comme toute l'histoire
du peuple noir
Qui se balance
Entre l'amour et l'désespoir
Quelque chose qui danse en toi
Si tu l'as, tu l'as
Ella, elle l'a
Ce je n'sais quoi
Que d'autres n'ont pas
Qui nous met dans un drôle d’état
Ella, elle l'a
Ella, elle l'a
Ou-ou ou-ou ou-ou ou
Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou, cette drôle de voix
Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou, cette drôle de joie
Ce don du ciel qui la rend belle
Ella, elle l'a
Ella, elle l'a
Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou
Ella, elle l'a
Elle a, ou-ou ou-ou ou-ou ou
Elle a ce tout petit supplément d’âme
Cet indéfinissable charme
Cette petite flamme
Tape sur des tonneaux
Sur des pianos
Sur tout ce que dieu peut te mettre entre les mains
Montre ton rire ou ton chagrin
Mais que tu n'aies rien, que tu sois roi
Que tu cherches encore les pouvoirs qui dorment en toi
Tu vois ça ne s’achète pas
Quand tu l'as tu l'as
Ella, elle l'a
Ce je n'sais quoi
Que d'autres n'ont pas
Qui nous met dans un drôle d’état
Ella, elle l'a
Ella, elle l'a ...
2. christineb le 08-01-2018 à 08:08:47 (site)
Bravo pour la photo du jour, bonne semaine.
4. anaflore le 08-01-2018 à 09:43:15 (site)
bravo pour la photo du jour
c'est vrai elle avait quelquechose dans la voix
5. jakin le 08-01-2018 à 11:03:57 (site)
Photo de circonstances...je l'aimais bien....une belle âme qui s'en va....
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