posté le jeudi 14 février 2013 à 17:10

Semaine de l'amour

Les chicanes de couple permettraient de vivre plus longtemps

 

Mise à jour en avril 2012 –

Avis à ceux qui idéalisent les relations amoureuses sans conflits :

réprimer la colère peut raccourcir la longévité des conjoints !

 

D’après une étude1 surprenante réalisée en 2008 portant sur 192 couples d’une petite ville du Michigan, aux États-Unis, le risque de mourir serait plus élevé pour les conjoints formant un couple où l’on réprime la colère et évite les conflits.

 

Cette conclusion résulte de 17 années d’observations au cours desquelles on a classifié les couples selon les attitudes démontrées par les conjoints en situation de conflit.

 

Parmi les 26 couples composés de partenaires qui évitaient les conflits ou qui communiquaient peu, les risques que les deux conjoints décèdent prématurément étaient quatre fois plus élevés que chez ceux où au moins un des deux conjoints exprimait régulièrement sa colère.

 

Plus spécifiquement, chez 23 % des couples « sans conflits », les deux conjoints sont morts au cours de l’étude contre 6 % chez les autres couples.

De même, 27 % des couples « sans conflits » ont perdu un conjoint, comparativement à 19 % au sein des autres couples. Ces résultats ont persisté même après avoir isolé les autres facteurs de risque de décès.

 

Différences entre hommes et femmes

 

Au cours de la même période (de 1971 à 1988), 35 % des hommes appartenant à un couple où il y avait absence d’échanges verbaux musclés sont décédés, contre 17 % chez les autres couples.

Chez les femmes, 17 % vivant dans un couple sans conflits sont mortes, comparativement à 7 %.

 

Selon l’auteur de l’étude, la résolution de conflits en couple est un enjeu de santé publique puisqu’en la réprimant, la colère s’ajoute aux autres sources de stress et contribue à écourter la vie.

 

« Parce que les conflits sont inévitables, le point crucial réside dans la façon dont chaque couple les résout : si vous ne réglez pas le problème, vous êtes vulnérable », conclut Ernest Harburg, professeur en psychologie de l’Université du Michigan2.

 

Un congé pour une peine d'amour!

 

Tous les conflits de couples ne se résolvent toutefois pas...

Or, afin de permettre à ses employés de se remettre d'une rupture amoureuse, une compagnie japonaise de marketing - Himes & Co. - leur offre un congé, dont la durée dépend de leur âge.

 

Pour l'employeur, une rupture amoureuse nécessite un temps d'arrêt « comme lorsqu'on est malade ».

Ainsi, les 24 ans et moins peuvent avoir une journée de congé par année, tandis que les 25 ans à 29 ans peuvent obtenir deux jours.

Les coeurs brisés de 30 ans et plus ont droit à un répit de trois jours annuellement.

Peut-être qu’un jour la durée de ce congé se calculera-t-elle en fonction de l'ancienneté... du couple !

D'après The Globe & Mail

 

 

Martin LaSalle – PasseportSanté.net

Source : http://www.passeportsante.net/

 


Commentaires

 

1. MaxLouisM  le 14-02-2013 à 18:43:03  (site)

Bon jour,

Je reste dubitatif devant ce genre de statistique. 192 couples pour donner une "idée" du couple sur le sujet : colère ou pas" pour un ensemble 7 000 000 milliards d'humains. On frôle l'indécence. Mais bon, je dis ça, je ne dis rien Sourire

 
 
 
posté le jeudi 14 février 2013 à 16:51

L'amour toujours suite

 

Amour et santé physique

 

De nombreux spécialistes s’accordent pour dire qu’il existerait un parallèle entre la santé physique et la santé mentale.

La santé physique serait le reflet de la santé émotionnelle.

Lorsqu’une personne se sent déprimée ou stressée, sa santé physique peut se détériorer, accroissant les risques de tomber malade par rapport à une personne qui se sent heureuse.

 

L’amour, accompagné d’un sentiment de bien-être et de bonheur, serait un bon moyen de rester en forme.

Selon une étude, les personnes vivant en couple seraient moins grippées et auraient des réponses immunitaires plus efficaces que celles des personnes vivant seules.

 

Les relations sexuelles sont aussi un moyen de rester en forme.

De nombreuses études scientifiques ont été menées et constatent que les relations sexuelles contribueraient au bien-être et au bonheur.

Selon une étude menée en Grande-Bretagne, l’activité sexuelle permettrait de réduire les risques de souffrir d’une maladie cardiaque et préviendrait l’hypertension ainsi que divers cancers, notamment celui de la prostate et du sein. 

Source : http://www.passeportsante.net/

 


Commentaires

 

1. gegedu28  le 14-02-2013 à 17:00:39

Bonjour Lisbeth,
Intéressant ton billet.
Je sais ce qu'il me reste à faire, pour garder la pêche !
LOL
Mais si des scientifiques l'ont prouvé, ils ont certainement raison.
Sur ce, je te dis bonne St-Valentin, ... avec ou sans modération, à toi de voir !
Bonne soirée.
Gégé

2. myrtille89  le 14-02-2013 à 17:17:38  (site)

bonjour, trés intéressant ton billet.
je te souhaite une bonne saint valentin. bise

 
 
 
posté le jeudi 14 février 2013 à 16:49

L'amour toujours suite

 

Amour et santé mentale

 

Aucune relation amoureuse ne se ressemble.

Pour certains, l’amour procure une sensation de bien-être et de bonheur qui les comble et qui les aide à se sentir bien psychologiquement.

Pour d’autres, c’est le partage et la découverte perpétuelle de l’autre qui les aide à être heureux.

Tomber amoureux aurait de nombreux impacts sur la santé mentale.

Une relation amoureuse est souvent un moyen de se dépasser afin de plaire à l’autre, de se sentir rassuré par l’autre, de s’épanouir et d’avoir confiance en soi. L’amour, également grâce aux hormones sécrétées lors d’une relation amoureuse, serait en fait une sorte d'antidépresseur !

De plus, la sexualité aiderait à réduire le stress et conduirait généralement au bonheur selon une enquête québécoise.

 

Mais l’amour n’a pas que des bons côtés et peut être synonyme de stress et d’inquiétudes.

Comme toute relation avec l’autre, l’amour est une succession de sentiments complexes et opposés : bien-être, jalousie, épanouissement, colère, passion, stress, inquiétudes…

Les disputes au sein du couple, la jalousie ou l’infidélité peuvent engendrer des contrariétés et générer du stress et de l’anxiété.

Être amoureux n’est pas toujours facile et cela peut avoir un impact négatif sur notre santé mentale.

La santé du couple est souvent au centre de la santé mentale qui fluctue alors selon la bonne entente ou les difficultés rencontrées.

 

Les codes modernes concernant les relations amoureuses et la sexualité peuvent également être des facteurs de stress et d'inquiétude.

Vouloir se conformer aux clichés actuels montrant ce que devrait être un couple ou une vie sexuelle ne mène pas forcément au bonheur et serait un facteur d’anxiété supplémentaire voire de déni de soi.

Source : http://www.passeportsante.net/

  
 


 
 
 

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