posté le samedi 21 août 2010 à 16:50

LA VIOLENCE ENVERS LES ANIMAUX

tend à être aujourd'hui reconnue comme un des signaux d'alerte à prendre très au sérieux dans l'étude de personnalité à risque.


Des enquêteurs de terrain ont observé de façon générale que les maltraitances humaines et animales vont de pair.

 

Dans certains pays, une coopération systématique et officielle s'est instaurée entre les travailleurs sociaux affectés aux enquêtes de maltraitance humaine et les enquêteurs des services de protection animale.

 

La connaissance de ce phénomène et une surveillance croisée permettent de minimiser les conséquences tragiques de la violence.
(sources : "enfant bourreau, adulte à risque" Le journal des Professionnels de l'enfance janv février 2004)

Saviez-vous, que des violences ou des négligences dont les enfants sont victimes sont observées dans 80 % des foyers où des violences sont exercées sur des animaux.


Dans 2/3 des familles où se produisent des violences domestiques, les animaux sont également maltraités.
Trois criminels sur quatre ont maltraité l'animal.

Les auteurs de violences sur l'animal commettent 5 fois plus fréquemment des violences sur les personnes.
50 % des violeurs ont dans leur enfance commis des actes de cruauté sur l'animal et 15 % des violeurs violent aussi les animaux.


De l'ensemble des travaux, on peut tirer le double constat suivant :

1. Des violences ou des cruautés subies ou observées durant l'enfance peuvent générer ou favoriser ultérieurement des comportements violents ou cruels.


2. Des violences sur l'animal ou des actes de cruauté exercées ou observées pendant l'enfance se trouvent fréquemment dans le passé d'individus se livrant à des violences ou à des actes de cruauté sur l'humain et/ou sur l'animal.


[...] Et puisqu'il est admis que la violence exercée contre les animaux est liée à la violence exercée contre les hommes, il est logique d'affirmer l'exactitude de la position contraire : le respect des animaux par l'homme est inséparable du respect des hommes entre eux [...]"

(Sources : racines infantiles de la violence et la cruauté Pr Nouët LFDA);

IL FAUT EN PROFITER POUR ENFONCER LE CLOU

Il faut profiter du sentiment de délinquance qui augmente en France pour enfoncer le clou et alerter sur la maltraitance animale.


La maltraitance animale n'est pas un exutoire, mais au contraire, c'est un signal d'alerte sur des individus à risque pour le passage à l'acte sur l'humain.

Il est par conséquent, très important de punir sévèrement tout acte de maltraitance pour éviter la banalisation de la violence, l'inversion du sens des valeurs, etc..

Sources : www.laposte.net/thematique/actualites/france/article.jsp?idArticle=20100728063700-pour-les-francais--la-delinquance-augmente&idAgg=actu_france;


 

 


 
 
posté le samedi 21 août 2010 à 15:46

La marée noire continue dans le golfe du Méxique

Dans le golfe du Mexique, la marée noire est devenue sous-marine

 

Une nappe de pétrole mélangée à du dispersant, le 5 mai 2010 sur les côtes de Louisiane. (AFP Joe Raedle)

 

    <!--
  • Blogguer cet article
  • -->

<!-- -->

Des océanographes ont scientifiquement établi la présence dans les profondeurs du golfe du Mexique d'un vaste panache d'hydrocarbures provenant du puits de BP, et dont la lente biodégradation peut présenter un risque pour l'écosystème, selon des travaux publiés jeudi.

 

«En juin, nous avons détecté le panache se déplaçant lentement (O,27 km/h) au sud-ouest de l'endroit où se trouvait la plate-forme qui a explosé», précise Richard Camilli, chef de l'expédition scientifique et principal auteur de cette étude parue dans la revue américaine Science datée du 20 août.

 

«Non seulement nous avons démontré qu'il existe bien un panache de pétrole dans le golfe du Mexique, mais nous avons également déterminé son origine et sa composition», a souligné ce chercheur, un des responsables du Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI), plus grand institut mondial privé d'études océanographiques à but non-lucratif.

 

«Jusqu'alors ce panache était considéré comme théorique», a-t-il rappelé, précisant qu'il n'était pas formé de «pétrole pur» mais que les échantillons prélevés contenaient de nombreux composants pétroliers toxiques.

Lente biodégradation

«Nous ne savons pas comment a évolué ce panache (depuis fin juin) car nous ne sommes pas retournés sur place», a toutefois précisé le chercheur lors d'une conférence de presse. Les analyses chromatographiques d'échantillons faites en juin ont relevé la présence de benzène, de toluène (un dissolvant), d'éthylbenzène et de xylène, des substances toxiques.

 

Les chercheurs ont pu aussi établir que ce pétrole provenait bien de la marée noire ayant résulté de l'explosion le 20 avril de la plate-forme de BP Deepwater Horizon, et non de suintements naturels. La fuite du puits, à 1.500 mètres de fond, a été arrêtée mi-juillet après que 4,9 millions de barils de brut se furent déversés dans l'océan, mais la plus grande partie du pétrole reste aujourd'hui introuvable.

 

Le panache s'étend sur au moins 35 km à plus de 900 mètres de profondeur et mesure 1,9 km de largeur sur près de 200 mètres de hauteur, ont relevé ces océanographes lors de l'expédition scientifique à bord d'un navire spécialement équipé.

 

Ces chercheurs ont expliqué qu'étant donnée l'étendue de la masse de ce «nuage» sous-marin d'hydrocarbures diffus et sa biodégradation assez lente, il pourrait «subsister dans l'océan plus longtemps qu'on ne le pensait».

Annonces contradictoires

«Nombre d'experts ont tablé sur une biodégradation rapide des hydrocarbures (mais) ce n'est pas ce que nous avons observé», a relevé Richard Camilli. On ne sait pas encore si le risque présenté pour l'écosystème océanique est important car «nous n'avons pas déterminé la toxicité» du nuage, a expliqué Christopher Reddy, un géochimiste marin de l'équipe de recherche.

 

«Nous ignorons également comment et pourquoi ce panache s'est formé», a-t-il ajouté, observant que le fait de connaître «son étendue, sa forme et sa profondeur et la direction dans laquelle il se déplace sera essentiel pour répondre à un grand nombre de ces questions».

 

L'annonce de cette découverte intervient en pleine controverse sur le fait de savoir où se trouve le pétrole de la marée noire.

Plus tôt cette semaine, des océanographes de l'Université de Géorgie (sud) ont estimé dans un rapport que près de 80% du pétrole serait encore dans l'océan.

 

Ils ont ainsi remis en question les évaluations très optimistes du gouvernement américain début août selon lesquelles 74% du brut déversé avaient été éliminés par évaporation, biodégradation et récupération entre autres.

 

 


 
 
posté le samedi 21 août 2010 à 15:41

A l'adoption, chat noir....

 

matou noir, pas de nom malheureusement

qui a besoin de se requinquer  car il ne pèse plus que 2,6 kg

 

Il est FIV+, pas de cohabiaion possible ou alors dans une famille avec déjà un chat FIV+, et c'est ça qui l'a affaibli, de plus il a du mal à manger (petits soucis dans la gueule) et a vraiment besoin qu'un 2 pattes soit aux petits soins pour lui, pour le faire manger et faire en sorte qu'il reprenne un maximum de force.

C'est un chat qui a été "oublié" lors d'un déménagement et qui a trouvé refuge dans une étable, une dame lui apporte à manger mais ne peut pas le recueillir dans sa maison.

 

Il a 7 ans, les poils mi longs, super gentil et rétabli, il sera magnifique.

 

 

 

Vous pouvez aider ce magnifique chat, soit en le parrainant, en faisant un don à l'association pour venir en aide pour les soins et la nourriture,

soit en devenant ses nouveaux maitres.

pour tous renseignements :

me contacter

lisbeth16@live.fr

 ou  Les-Felins057@live.fr

ou bien sur leur blog

http://felins.vefblog.net/

article : la lacheté des hommes

 


 
 
 

Ajouter un commentaire

Hebergement d'image gratuit
Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article